I am following Tara's adventures for many years now. Tara is a boat dedicated to scientific studies of climate changes impact on the oceans.
In 2006, Tara went to arctic ocean and slowly drifted through the ice field for two years and 1800km.
On board, Vincent Hilaire, photographer, followed the scientists. He caught in an incredible way this boat stranded on the ice during the polar night. Black, grey and yet so much light diffracted by the ice.
These images inspired "Aquarelle d'une nuit polaire". We used on one side a black weft on a black warp to obtain an intense and pure color. On the other side, we used a grey weft on a beige warp, like the moon light going through the grayness.
Blend : 89% organic and fair trade cotton, 11% merino wool from Arles
Weaving : double satin
"Aquarelle d'une nuit polaire" was weaved in small quantities but it will be the first wrap of our semi-permanent collection so it will be re-weaved next winter.
A la ruche, nous avons gardé de l’enfance nos rêves et notre envie de tout oser. Si comme nous, vous aimez frôler de vos pieds l’herbe mouillée. Si les rides qui dessinent le visage de votre grand-mère vous emportent avec le lapin blanc dans le labyrinthe du pays des merveilles. Si surtout, vous voulez vivre aujourd’hui vos rêves d’enfants, alors vous faites déjà partie de la ruche sans le savoir. Quels sont les rêves qui ont inspiré notre projet ?
Léora est née d’une aventure hors du commun, celle d’une expatriation en famille pour un an à Québec. Nous sommes partis avec nos deux enfants de 10 mois et 2 ans, nos 11 valises et des rêves pleins la tête : approcher des ours et des caribous, marcher en raquette jusqu’aux sommets enneigés, avancer au pied d’immenses chutes d’eau. Grâce au portage, ces rêves sont devenus de sublimes souvenirs dans nos cœurs et dans la mémoire de nos bambins. Il leur a permis de vivre à hauteur d’adulte, d’ouvrir une fenêtre sur le monde, sans limite ni barrière. Pour nous, cela a été la joie de partager l’extraordinaire avec eux, en sentant leur souffle chaud dans notre cou et en recueillant au creux de l’oreille ce qu’ils voyaient.