Des courbes résolument inspirées de l'Art Nouveau. Des formes évocatrices sans être évidentes. Chacun et chacune peut y voir l'image qui lui parle.
J'aimerais garder cette suggestivité. Ainsi, je me retiens de vous décrire ce motif et je m'attache à vous parler de sa symbolique.
Dear... est une lettre écrite à une grande dame de notre monde pour l'inviter à se pencher au-dessus du berceau de nos bébés. Tout comme les fées au-dessus du berceau de la Belle au Bois Dormant.
Notre premier modèle s'adresse à Olympe de Gouge, pionnière du féminisme au XVIIIieme siècle. Chère Olympe, donne à nos enfants la force de tes convictions et le courage de transcender le monde pour accomplir leur mission de vie.
"Dear Olympe" sera disponible en série limitée samedi soir à 21h. Voici ses caractéristiques techniques :
Composition : 100% coton bio équitable
Tissage : triple chevron
Grammage : 405g/m2
Prix : sling : 280€, étole : 260€, taille 3 : 290€, taille 4 : 310€, taille 5 : 335€, taille 6 : 360€, taille 7 : 390€
A la ruche, nous avons gardé de l’enfance nos rêves et notre envie de tout oser. Si comme nous, vous aimez frôler de vos pieds l’herbe mouillée. Si les rides qui dessinent le visage de votre grand-mère vous emportent avec le lapin blanc dans le labyrinthe du pays des merveilles. Si surtout, vous voulez vivre aujourd’hui vos rêves d’enfants, alors vous faites déjà partie de la ruche sans le savoir. Quels sont les rêves qui ont inspiré notre projet ?
Léora est née d’une aventure hors du commun, celle d’une expatriation en famille pour un an à Québec. Nous sommes partis avec nos deux enfants de 10 mois et 2 ans, nos 11 valises et des rêves pleins la tête : approcher des ours et des caribous, marcher en raquette jusqu’aux sommets enneigés, avancer au pied d’immenses chutes d’eau. Grâce au portage, ces rêves sont devenus de sublimes souvenirs dans nos cœurs et dans la mémoire de nos bambins. Il leur a permis de vivre à hauteur d’adulte, d’ouvrir une fenêtre sur le monde, sans limite ni barrière. Pour nous, cela a été la joie de partager l’extraordinaire avec eux, en sentant leur souffle chaud dans notre cou et en recueillant au creux de l’oreille ce qu’ils voyaient.